Selon REN, jusqu'en juin, la production photovoltaïque a fourni 7% de la consommation d'électricité et la biomasse 6%, tandis que la production de gaz naturel représentait 19% et les 20% restants correspondaient au solde des importations.
"Sur l'ensemble du semestre, l'indice de productivité hydroélectrique a été de 0,79 (moyenne historique de 1), l'indice de productivité éolienne de 0,92 et l'indice de productivité solaire de 1,07".
Au cours des six premiers mois de l'année, la consommation d'électricité a été "conforme à celle observée au cours de la même période de l'année précédente", présentant une réduction de 0,3 %, compte tenu des effets de la température et des jours ouvrables.
En analysant uniquement le mois de juin, la consommation d'électricité a enregistré une croissance de 0,5 % en glissement annuel, grâce à des températures supérieures à la moyenne. En corrigeant les effets de la température et du nombre de jours ouvrables, elle a baissé de 1,3%.
En juin, le régime hydroélectrique a été plus favorable, enregistrant 1,11 (moyenne historique de 1), tandis que les conditions éoliennes et photovoltaïques ont été inférieures aux régimes moyens, avec des indices de 0,81 et 0,97, respectivement.