Dans un communiqué, le syndicat affirme qu'"easyJet continue de considérer les équipages des bases portugaises comme des travailleurs mineurs, perpétuant ainsi la précarité et la discrimination à l'égard des collègues d'autres pays".
Le climat de tension et la longue impasse dans la résolution des différents conflits de travail justifient cette décision. "Nous sommes conscients une fois de plus de ce que représente ce préavis et nous ne le faisons pas à la légère", disent-ils dans la note, avant d'ajouter que "le SNPVAC reste disponible pour négocier avec l'entreprise de façon sérieuse et afin de répondre aux prétentions de nos Associés".
La lettre a été envoyée à l'entreprise, au ministère de l'Equipement, au ministère du Travail, de la Solidarité et de la Sécurité sociale, au ministère de l'Economie et de la Mer et à la DGERT.